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Johnny
03:05
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Eddy, Eddy
J'sais pas pourquoi je m'accroche à toi comme ça
C’est bien joli, tes fantaisies
J'y crois, j'y crois et tu te fous de moi
Johnny, Johnny
Mais oui on me l'avait dit mais rien n'y change
Que toi, Johnny, t'es pas un ange
Tu mens, tu mens et moi, je plonge dedans
Oui mais moi quand tes beaux yeux me dévisagent
Et qu'ils me promettent les cieux, c'est bon
Moi je fonds, je décolle et dans tes bras, je m'envole
Hé mon Titi,
Je sais, je sais, t'es rien qu'un gigolo
Mais tu me rends dingo, je t'ai dans la peau
Je t'attends, je t'attends et toi, toi, tu fous le camp…
Oui mais moi quand tes beaux yeux me dévisagent
Et qu'ils me promettent les cieux, c'est bon
Moi je fonds, je décolle et dans tes bras, je m'envole
Quand tu me souris
Franky, mon chat, mon rat, j'suis ta souris
Mais c'est moi qui cours vers toi, toujours
Je t'en prie, je t'en prie, emmène-moi dans ta vie
Mon cœur et mon amour, à toi, toujours...
Je t'en prie, je t'en prie, emmène-moi pour la vie...
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2. |
Des Mots Légers
02:54
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étendue sur l'herbe, le soleil brûle ma peau / il y a dans l'air un je-ne-sais-quoi de beau / la musique de la rue
résonne au loin / tout est flou, je pense à rien / mes pompes troueés, mon pantalon décousu / mes chansons d'amour, aux arbres, sont suspendus
mes emmerdes, mes soucis s'effacent au loin / et j'oublie que je n'ai rien / et je m'en fous / je laisse aller mes pensées / et je m'en fous, oui je m'en fous,
fous de tout / je veux chanter des mots légers / je veux m'envoler, comme ça, pour un rien, un rien... / mes idées noires se font la conversation / tous mes
problèmes se font bulles de savon / dans les airs, une mélodie qui va, qui vient / et j'oublie que je n'ai rien / et je m'en fous / je laisse aller mes pensées
et je m'en fous / en chantant ces mots légers / je m'envole au loin, comme ça, pour un rien, un rien... / pas un nuage et pas une ombre à l'horizon
oui, c'est immoral de vivre pour des chansons / non, je ne veux pas penser au lendemain / je veux oublier que je ne suis rien / et je m'en fous,
oui, je m'en fous, fous de tout / je chante ma liberté / et je m'en fous, oui je m'en fous, fous de tout / tous ces mots très très légers s'envolent au loin
comme ça, pour un rien, un rien... (bis)
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3. |
La Chaleur
02:47
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entends-tu le vent ? / ce vent doux qui dit à la nuit : / "le jardin est vivant" / c'est l'été qui appelle à mordre ses fruits / les moustiques
volent, ils flottent et ils dansent / les boutons de roses lèvent la tête en cadence / les oiseaux de nuit et les loups manigancent / et la chaleur s'introduit
en silence / les vieux arbres sont en transe / et tous les cris de la nature invitent à l'indécence / sens-tu les ténèbres, le sang chaud qui monte à la tête ?
les feux follets célèbrent / le ciel noir et lourd qui éclate en tempte / les moustiques volent, ils flottent et ils dansent / les boutons de roses lèvent la tête
en cadence / les oiseaux de nuit et les loups manigancent / et la chaleur s'introduit en silence / les vieux arbres sont en transe / et tous les cris de la
nature invitent à l'indécence...
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4. |
Premier Jour
02:41
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couvre-moi de baisers fous / folle, fous-moi à tes genoux / sortons ce soir, soyons les fous / refaisons le monde à genoux
le temps s'efface-face / à nous les nuits, à nous les jours / à nous l'éternité du premier rendez-vous / je veux brûler ce soir, me rappeler toutes les
images pour me noyer dans ton regard, toujours / enveloppe-moi de tes yeux doux / raconte-moi l'histoire / de ton premier rencard / de tes amours,
je te rends fou jaloux / le temps s'efface-face / à nous les nuits, à nous les jours / à nous l'éternité du premier rendez-vous / je veux brûler ce soir,
me rappeler toutes les images / pour me noyer dans ton regard, toujours / dans ton regard, toujours / enveloppe-moi de tes yeux froids,
la douleur du dernier rendez-vous / la folie qui joue avec nos coeurs / nous rappelle le premier jour / le premier jour (ter)
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5. |
Le Diable Au Corps
03:39
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doucement, tu te faufiles / sous ma peau et tous mes mots sont pour toi / torture-moi / avec ce sourire / tu peux rire, te jouer
de moi et toute seule / je soupire / tu deviens un poids / tu alourdis mon coeur / sous tes coups, la douleur / quand tu joues avec moi / parfois l'idée
m'effleure / qu'un beau jour / je serai ton amour / tu m'écorches, avec ce regard / tu fais miroiter l'espoir que peut-être / tu viendras / tu m'enfermes dans
ta solitude / sur cette terre, il n'y a plus que toi / et mon âme qui brûle / tu deviens un poids / tu alourdis mon coeur sous tes coups, la chaleur / quand tu
joues avec moi / parfois, l'idée m'effleure, qu'un beau jour / je serai ton amour / (ouh ouh ouh)
torture-moi avec ce sourire / n'arrête pas, oui je veux souffrir / continue, oui je veux mourir près de toi (bis)
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6. |
Coeur tombe A l'Eau
03:16
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mon coeur épuisé, tu flottes à la dérive / tu t'éloignes lentement / tu me fais signe / oh mon coeur, j'arrive !
non, c'est trop tard, tu dérives... / que vais-je faire sans toi, mon coeur, seule sur cette rive ? le souffle court et la poitrine vide / prends-moi
dans ta dérive / coulent la seine, mes yeux, ma peine / et paris tout entier / la ville engloutie, le ciel évanoui / mon coeur,
qu'est-ce-qui m'arrive ? que vais-je faire sans toi, mon coeur / seule sur cette rive ? / le souffle court et la poitrine vide / et je dérive / rivière
bleue, courant cruel me font la bouche en coeur / et voguent, voguent vers honfleur se jeter à la mer / à la rivière s'ouvre la terre
tu découvres la mer dans l'eau salée, l'écume et les vagues / je crie, je cours, je divague / que vais-je faire sans toi mon coeur,
seule sur cette rive ? le souffle court et la poitrine vide / et je dérive / dans les remous des eaux troublées / je te vois qui bois la tasse
mon pauvre coeur, tu trépasses dans les fonds ensablés...
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